FR - Vol suspendu d'Edwige by kiky270281, literature
Literature
FR - Vol suspendu d'Edwige
Et soudain le temps se fige, Comme un vol suspendu d'Edwige, Plus rien ne bouge à Poudlard, Par la puissance de deux regards. Qui se croisent, se caressent, s'entre-choquent, Qui s’enlacent, s'intéressent et font toc-toc, Rien ne peut vaincre l'amour, c'est le sortilège le plus puissant, Il commande la nuit et le jour, les esprits, les corps, les éléments. Je t'aime à en souffrir, Et c'est le prix à payer, Pour la joie, la paix et les rires, Que je vie à tes cotés. Chaque seconde sans toi est une plaie qui s'étire, Dés l'instant où l'on se revoit, Un bonheur qu'on ne peut définir.
Que serait un jour sans soleil, Une nuit sans lune ni étoiles, Une journée aux minutes éternelles, Une danse des 7 voiles sans voiles? J'en ai une idée, maintenant. Une bouffé sans oxygène, Un repas qui laisse sur la faim, Aucun chemin qui ne mène, Aucune main dans ma main... Tu me manques tellement... Le soleil n'est plus qu'un fantôme dansant derrière les nuages, La nature même semble aphone, Enfermée dans ma peine et ma rage. Il me regarde de son oeil unique, De ce violet qui nous a frôlé, Animé d'un sourire sarcastique, Ça aurait pu être bien pire je sais. Mais ce manque est une torture, Le zéro absolu dans la poitrine, Moins deux cent soixante treize virgule quinze degrés celcius bien sûr, Me crit-on à tue-tête cette évidence sibylline. Bah oui, je détourne l'attention, Statue de glace ridicule que je suis, Mais cette douleur est tapie au fond, Tel Gmork le loup des terribles nuits. Il n'en peut plus de hurler à la lune pâle, Il n'en peut plus de n'entendrez que ses
Comme dans un parc d'attraction, Il y a des montagnes russes à foison, Des hauts et des bas, en veux - tu en voilà. C'est l'histoire d'une fille et d'un garçon, Qui s'aiment et jouent à des jeux polissons, Parfois avec éclats, parfois ça part en débat. Ne lâche pas ma main mon amour, On est répartit pour un grand tour, Même si parfois, on s'écrase les doigts. Ne lâche pas ma main mon amour, Nous n'en sommes qu'aux premiers jours, Nous arriverons crois - moi, à dominer nos effrois. Y aura-t-il un looping, un virage serré? Je sais juste que je t'aime et te veux à mes côtés.
Kayden ajusta ses lunettes. Le suspens était intenable. Il pris un nouvel élément bleu entre ses doigts, et l'examina attentivement. - Allez! C'est à ton tour! clama Eleanor, impatiente. - Lélé, ne stresse pas ton petit frère comme ça, il va mettre encore plus de temps sinon sourit Kathleen, amusée. Kayden examina le champs de bataille devant lui. L'élément bleu délicatement, mais néanmoins fermement tenu entre son pouce et son index, son regard parcourra la scène, analysa la situation, scruta chaque détail, un par un, méthodiquement comme on lui avait appris, et laissa échapper un petit "ouiii!" de satisfaction lorsqu'il trouva enfin ce qu'il cherchait. Brandissant l'élément bleu, le sourire aux lèvres, il l’abattis prestement sur la table, avec une précision millimétrée... - "Bravo!" s'exclama Eryleen, qui feuilletait une bd de tintin de sa grand-mère en attendant, "Maintenant c'est à Papa!" - Moui? Oh. (il glissa son crayon sur son oreille, amusant et exaspérant à la fois Kathleen